Samedi 19 Mars 2022
SOIREE PIRATES DES CARAIBES Cliquez ici pour plus de détails.
Nous vous attendons nombreux !
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Avec le printemps, les frelons asiatiques, la terreur des abeilles, vont proliférer. Les reines, fécondées avant l’hiver, vont sortir d’hibernation et donner naissance à des milliers de frelons asiatiques. Ils vont dévaster les ruches et sont dangereux pour l’homme.
Dès que les températures dépassent les 13°Celsius, les femelles fondatrices de « vespa velutina nigrithorax » commencent leur sortie d’hibernation, suivant l’endroit de leur cachette, plus ou moins isolée, au soleil ou à l’ombre. Les premières sorties ont eu lieu tôt cette année avec la douceur de la fin de l’hiver.
Pendant quelques jours, elles se refont une santé si elles arrivent à trouver les sucres énergisants dont elles ont un besoin vital. Les rescapées démarrent un nouveau cycle infernal. Chacune sera seule pour fonder une nouvelle colonie : construire le nid (une alvéole chaque jour), pondre (un œuf chaque jour), se nourrir et nourrir ses larves jusqu’à ce qu’elles deviennent nymphes, puis adultes ouvrières, 45 jours après la ponte de l’œuf. Pendant cette période (du 15 février au 1er mai), elle est seule à assumer la survie de sa colonie. Contrairement aux abeilles, la femelle fondatrice passe la plupart de son temps en dehors du nid, jusqu’à la naissance des premières ouvrières, 45 jours après la ponte du premier œuf, c’est à dire aux environs du 1er mai. Après les premières naissances, la femelle fondatrice est remplacée dans son labeur, elle ne sortira plus du nid, elle ne fera plus que pondre comme une reine jusqu’à 100 œufs par jour et jusqu’à épuisement en automne.
Le moment clé pour piéger les femelles fondatrices, se situe donc au sortir de l’hibernation jusqu’au 1er mai (en fonction des aléas climatiques de l’année) ! ! ! . . . Pendant cette période, leurs besoins sont des sucres pour elles, des protéines pour nourrir les larves, des fibres de bois et de l’eau pour construire l’ébauche de la structure du nid. Il a été observé et cela s’explique peut-être, qu’elles ne s’aventurent pas près des ruches, car c’est trop dangereux pour elle et la survie de la colonie en dépend. Même si « vespa velutina nigrithorax » s’est vite acclimaté à nos territoires nouvellement envahis, dans son environnement d’origine (Asie du Sud-Est), sa présence devant une ruche est beaucoup trop dangereuse. Les abeilles, là-bas, ont appris à se défendre jusqu’à conditionner les gênes de la femelle fondatrice de « velutina ». Ca risque donc de durer encore quelques années, sauf peut-être dans les Landes où les frelonnes ont très vite compris et n’hésitent pas à braver ce danger, sans réaliser qu’il faut braver aussi le Poulet des Landes, très friand justement des frelons des ruches.
Il est incontestable qu’une fondatrice piégée et éliminée, ne fera jamais de nid ! Il est incontestable aussi que si une fondatrice mène à bien sa colonie, c’est bien parce qu’elle n’a pas été piégée. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle piéger seul dans son coin ne suffit pas ! Il faut mobiliser le voisinage au plus large autour d’un nid découvert trop tard, et non détruit avant les premiers gels sérieux, afin d’essayer de toutes les piéger.
L’observation de l’invasion indique qu’en moyenne, le nombre de nids est multiplié par 5 l’année suivante si rien n’est fait (pas de destruction de nid et pas de piégeage de printemps).
La Communauté de Communes Yvetot Normandie se lance dans l’élaboration de son programme local de prévention des déchets ménagers et fait appel à tous les habitants du territoire !
Ce programme consistera à mettre en place des actions pour réduire la quantité des déchets ménagers produits. La prévention des déchets nécessite l’implication de tous. Ainsi Yvetot Normandie a créé un questionnaire pour recueillir les pratiques et les idées des habitants.
Où trouver le questionnaire ?
D’avance, nous vous remercions pour notre collaboration commune.
Oui, il est possible de jardiner en étant plus respectueux de l’environnement. Voici quelques conseils judicieux …
D’abord, il faut oublier le jardin « zéro défaut ».
La première chose à faire est de changer notre regard sur les espaces verts. Il ne faut pas chercher la perfection au brin d’herbe près, mais lui préférer ce que les professionnels appellent une gestion différenciée, comme laisser, par endroit, des zones un peu plus sauvages.
Il faut repenser sa philosophie du jardin.
Au lieu de vouloir tondre l’intégralité d’une pelouse, pourquoi ne pas jouer sur les volumes en créant une zone de « prairie » au fond de son terrain ? Tondue moins souvent, la prairie permet la création d’un carré sauvage propice à la biodiversité… et pourquoi pas à une partie de cache-cache !
A propos du gazon, les tontes à raz favorisent l’apparition de la mousse et parfois du pissenlit. Pour l’éviter, préférez une tonte haute et une aération du sol, qui permet la bonne évacuation des eaux stagnantes.
Privilégiez les plantes résistantes aux ravageurs et aux maladies
Choisissez des plantes adaptées au climat et au sol de notre région : elles seront bien moins sensibles aux maladies. Renseignez-vous auprès des pépiniéristes, observez les jardins voisins pour vous en inspirer ou procédez à une analyse de votre sol. Informez-vous sur les végétaux : une plante amatrice d’ombre ne poussera pas ou très mal en plein soleil et inversement.
De même pour les plantes aimant l’humidité, une fougère ne se développera pas au plein soleil en terrain très sec alors qu’un cactus qui adore les situations chaudes et les terrains drainés pourrira très vite les pieds dans l’eau et sans soleil !
Chez nous, en Normandie, notre terrain est calcaire et si vous adorez les hortensias et autres camélias, ne vous en privez pas ! Ménagez-leur un massif où vous enlèverez la terre du jardin que vous remplacerez par de la terre de bruyère plus adaptée à la santé de ces végétaux.
Paillez le pied des plantes pour limiter les arrosages et conserver une bonne humidité.
Créez un milieu diversifié
Favoriser la biodiversité est la clé du jardinage sans pesticides, car une multitude d’organismes vivent en interdépendance. Pour cela, plantez des haies composées de différents arbustes à fleurs et à baies qui attireront papillons et oiseaux. Pensez aussi à aménager des zones d’ombres et des zones humides pour attirer la faune. La création d’un bassin est un élément essentiel pour recréer un écosystème complet dans votre jardin. Vous pourrez y installer des poissons, gros consommateurs de moustiques.
Échelonnez vos cultures et pratiquez leurs rotations au potager. Associez des végétaux, par exemple, en plantant des œillets d’Inde connus pour leur pouvoir répulsif autour de vos légumes, ou encore des carottes à côté des oignons qui se protègent mutuellement contre leurs parasites respectifs.
Enfin, laissez un coin de jardin en jachère où vous sèmerez fleurs et engrais verts pour attirer les insectes pollinisateurs et pour améliorer la qualité du sol.
Attirez les prédateurs naturels
Il faut réussir à trouver le bon équilibre entre proies et prédateurs. Pour cela, construisez une maison pour les insectes et des nichoirs pour les oiseaux. Pensez à laisser un tas de bois au fond du jardin pour favoriser la venue du hérisson, prédateur d’escargots et de limaces. Associé à des brindilles et des feuilles mortes, ce tas attirera pendant l’hiver des insectes comme les coccinelles, les cloportes ou les pinces oreilles mangeurs de pucerons.
Fertilisez avec des engrais naturels
Les engrais naturels servent de compléments au compost que vous pouvez faire vous-même.
D’origine organique ou minérale, ils n’ont subi aucune transformation chimique. Ils ne risquent pas de brûler les racines et stimulent la vie biologique du sol tout en le nourrissant.
Traitez avec des produits naturels
De la cendre de cheminée pour éloigner escargots et limaces, du savon de Marseille contre les pucerons, de l’eau bouillante pour débarrasser une allée des mauvaises herbes. Les solutions sont multiples. Elles vous permettront d’échapper à la dangerosité des produits phytosanitaires !
Flyer de l’Agence Régionale de l’Environnement de Normandie à télécharger : Cliquez-ici
Accès :
Déchetterie de la CCYN, route départementale 37, 76190 Touffreville-la-Corbeline.
Horaires d’ouverture :
En période d’été (du 1er avril au 30 septembre) :
Le Lundi-Mercredi-Jeudi-Vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h.
Samedi de 8h à 12h et de 14h à 18h.
En période d’hiver (du 1er octobre au 31 mars) :
Le Lundi-Mercredi-Jeudi-Vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h.
Samedi de 8h à 12h et de 14h à 17h.
La déchetterie est fermée les mardis, dimanches et jours fériés.
Pour tout renseignement, appelez le 02 35 56 14 14.
Accès :
Déchetterie de la CCYN, route du Hameau Yvelin, 76190 Croix-Mare
Horaires d’ouverture :
En période d’été (du 1er avril au 30 septembre) :
Lundi-Mercredi-Vendredi de 15h à 18h.
Samedi de 9h30 à 12h et de 14h à 18h.
En période d’hiver (du 1er octobre au 31 mars) :
Lundi-Mercredi-Vendredi de 14h à 17h.
Samedi de 10h à 12h et de 13h30 à 17h.
Fermée tous les mardis, jeudis, dimanches et jours fériés.
Pour tout renseignement, appelez le 02 35 56 14 14.